Kinshasa, 12 mai 2021- Le Premier ministre honoraire Matata Ponyo serait l’une des premières victimes à faire les frais d’un acharnement injustifié, dénoncent ses proches.
Comparant ses ennuis judicaires à celui de l’ancien directeur de cabinet du Chef de l’Etat Vital Kamerhe dans le procès 100 jours, ils affirment qu’une messe noire savamment orchestrée vise à l’écarter également des élections de 2023.
Afin de l’anéantir, des poursuites élaborées, regrettent-ils, sur base des rapports montés de toutes pièces et comportant au moins huit mensonges ont été déposés à la justice.
Ces derniers rappellent que le premier ministre honoraire, Augustin Matata Ponyo Mapon est l’un des meilleurs ministres qu’a connu la République.
Ses empreintes, ont été également élogieuse au BCECO où il fut découvert par le Président honoraire Joseph Kabila Kabange qui le confiant la charge de la Primature force de ses compétences avérées.
Pour d’aucuns, Matata Ponyo reste un bâtisseur incontesté de la province du Maniema grâce notamment à son investissement dans la jeune avec l’érection de sa prestigieuse Université.
Un grand pas dans la visée du Chef de l’État congolais, Félix Antoine Tshisekedi qui fait également de l’enseignement un grand chantier en décrétant pour ce faire la gratuité de l’enseignement primaire sur l’ensemble du pays.
Le Constat fait par le Chef de l’Etat dans certains instituts supérieurs et universités saurait trouvé un modèle de fière dans le chef d’oeuvre de l’homme devenue à battre sans cause avérée.
Lancé dans ses enseignements de la bonne gouvernance et leadership, Matata Ponyo est réputé pour un travailleur méthodique et acharné, attesté lors de son passage à la Primature.
“Il quittait tard son bureau de travail pour y revenir le lendemain tôt le matin à six heures pour des rendez-vous au point que l’on avait difficile à croire s’il aimait vraiment son lit”, présentent-ils.
À son passage à la tête de l’exécutif national, Matata Ponyo aura positivement marqué d’une empreinte indélébile son passage à la primature par des réalisations palpables.
Matata ne mérite pas cette guerre de peur que notre génération entière n’en pâtisse au dernier jour, ont-ils regretté. Pour des collaborateurs de l’ancien premier ministre, ce dossier est réputé vide et les éminents juges auront à explorer pour un verdict qui le lavera de tout soupçon, ont-ils souhaité..
Cédric BEYA