Kinshasa, 16 novembre 2022- A la suite de l’adresse du chef de l’État, Félix Tshisekedi Tshilombo, le parti politique “Agissons pour la République” (AREP), membre de l’Union sacrée de la nation continue à sensibiliser les congolais sur la mobilisation nationale contre l’agression de la République Démocratique du Congo par des forces négatives dont le Rwanda.
Dans une déclaration rendue publique mardi 15 novembre à Kinshasa, cette formation politique initiée par le ministre d’État en charge de l’aménagement du territoire, Guy Loando, invite les jeunes congolais à s’enrôler massivement au sein de l’armée congolaise afin de barrer tout projet de balkanisation de la RDC.
“[…] AREP apporte son soutien inconditionnel à l’appel à la mobilisation générale lancé par Félix Tshisekedi Tshilombo pour la défense du territoire national. L’AREP invite, à cet effet, tous les jeunes congolais et congolaises à s’enrôler massivement dans l’armée afin de barrer à tout projet de balkanisation de notre pays. AREP se range à 100% derrière les forces armées de la République Démocratique du Congo qui combattent jusqu’au sacrifice suprême les ennemis de la République en vue de recouvrer l’intégrité du territoire national”, a insisté le secrétaire général Me Mukendi.
En outre, le parti du Ministre d’État Guy Loando appelle à l’unité nationale pour vaincre les terroristes du M23 qui occupent illégalement les territoires de Rutshuru et Nyiragongo.
Ce faisant, tout en saluant les efforts fournis par le gouvernement Sama Lukonde et du Président de la République, AREP réitére son soutien total aux FARDC pour bouter hors du territoire national cette force ennemie.
Il sied de noter que 24 heures après l’adresse de Félix Tshisekedi à la télévision nationale congolaise (RTNC), plus de 7000 jeunes se sont enrôlés dans l’armée en vue servir la nation sous les couleurs nationales.
D’après les dernières nouvelles au moins 4000 jeunes du Nord-Kivu ayant volontairement rejoint les FARDC ont été évacués lundi 14 novembre à destination de Kinshasa pour le centre d’instruction de Kitona, au Kongo central.
Cédric BEYA