Kinshasa, 17 juillet 2024- Après avoir semé 11.000 hectares de maïs au Parc-Agro Industriel de Bukanga-Lonzo, sans appui du Gouvernement, l’Union des Enfants des Militaires et des Policiers au Congo (UEMPC) demande au Chef de l’État une subvention pour faire de l’agriculture au profit des congolais.
Dans une correspondance adressée au Président de la République, l’Union des Enfants des Militaires et des Policiers au Congo” (UEMPC) fait savoir comment elle peut faire de l’agriculture une priorité des priorités pour le bien-être de la population congolaise.
“Monsieur le Président, le peuple D’abord qui est le souverain primaire, vous appelle de résoudre notre problème social pona kolia svp Mr le Président “Nzala Eleki Makasi ” donnez-nous les moyens ( subventions) pour faire de l’agriculture une priorité des priorités merci ! La RDC pays solution… Monsieur le Président, nous vous informons que c’est possible pour que ton peuple mange Bio dans 3 mois en cultivant le Maïs, Riz, Pondu, Manioc, Légumes et d’autres culture de base. Monsieur le Président svp ne nous envoyer pas à la maison militaire pour résoudre notre demande”, peut-on lire dans leur correspondance.
Dirigée par la Présidente, Madame Saidi Mwayuma Francine, l’UEMPC sollicite également une attention particulière de la part du père de la nation congolaise, au secteur agricole afin de vaincre la famine qui gangrène dans les familles congolaises mais aussi la malnutrition à travers son plan d’action.
Au-delà de ses fonds propres qui lui ont permis de semé 11.000 hectares de maïs sans appui du gouvernement au Parc Agro-Industriel de Bukanga-lonzo, elle peine à assurer la récolte pour manque d’accompagnement ( subventions).
Elle plaide pour un bon accompagnement afin de mettre fin à toute sorte de souffrances auxquelles est confrontée la population congolaise.
Selon la Présidente de l’Union des Enfants des Militaires et des Policiers au Congo, réanimer le Parc Agro-industriel de BUKANGA-LONZO, c’est contribué à l’auto-suffisance alimentaire, mais aussi à la lutte contre le chômage dont est victime nos populations locales.