Kinshasa, 9 décembre 2024- Fervent défenseur du changement de la constitution, Jean Thierry Monsenepwo ne cesse d’entreprendre des démarches pour aboutir à cette volonté exprimée plus d’une fois par le Chef de l’État.
Il a été voir Christophe Mboso, deuxième vice président de l’Assemblée nationale et membre du présidium de l’union sacrée afin d’abord cette question qui alimente le débats politique actuellement en RDC.
Jean Thierry Monsenepwo a indiqué qu’avec ce grand notable du Grand Bandundu, leurs échanges ont tourné autour l’avenir de la Constitution de la RDC.
“Conformément à la vision du Président de la République, Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, cette rencontre visait à réfléchir à une possible émancipation de notre loi fondamentale pour mieux répondre aux défis de développement et de sécurité auxquels le pays est confronté. En tant que démocrates et membres engagés de l’Union Sacrée, nous avons partagé notre attachement à une réforme constitutionnelle constructive, ancrée dans la volonté de doter notre pays d’une loi moderne et solide. Nous avons discuté des articles nécessitant une attention particulière, dont l’article 217, en vue d’apporter des solutions adaptées aux réalités nationales”.
En outre, il a fait savoir être sorti de ces échanges avec des sages conseils du patriarche qui, du reste à salué les efforts déployés dans cette démarche.
“L’honorable Mboso a rappelé avec fermeté que, comme l’a souligné le Président Tshisekedi à Lubumbashi, le peuple demeure le seul maître à bord. Chaque étape du processus de réforme doit être expliquée et justifiée auprès de nos concitoyens. Il ne s’agit en aucun cas d’une manœuvre pour s’éterniser au pouvoir, mais d’une initiative visant à garantir une Constitution adaptée aux besoins présents et futurs de la RDC”.
De son côté, il affirme qu’il reste déterminé à soutenir cette vision de progrès, guidés par l’intérêt général et l’impératif de renforcer la démocratie.
Cédric BEYA