Kinshasa, 01 octobre 2021- Thierry Monsenepwo, cadre au sein du parti Convention de Congolais Unis (CCU) de Lambert Mende, demande aux Chefs de confessions religieuses d’éviter de porter sur elles, le poids d’un glissement. Pour lui ceci risque d’être inexorable à cause de cette perte de temps.
A en croire cet acteur politique, avec le délai supplémentaire de 72 heures leurs accordé, par le bureau de l’Assemblée nationale pour s’entendre sur la désignation du futur président de la CENI, elles doivent être plus responsables en pensant aux échéances de 2023.
“Les pères de l’église doivent avoir cette image en tête à chaque fois qu’ils vont mettre au devant leurs sentiments et intérêts personnels, en lieu et place de l’équité”, a-t-il conseillé.
En même temps, il a salué cette sagesse manifestée par le Président de l’Assemblée nationale à travers l’acte qu’il estime de bonne foi, afin de leur permettre de se mettre au même diapason.
Aussi, il exhorte les représentants de 8 confessions religieuses de mieux faire les choses dans le sens du consensus, sinon, de faire prévaloir la loi de la majorité.
“Et sur ce, nous savons que la majorité des 8 confessions religieuses, soit 6 confessions sur 8, a déjà fait le choix d’un candidat”, a-t-il traché.
Par ailleurs, il pense que si l’ECC et la CENCO continuent à recuser le candidat désigné par le groupe de “6”, il les invite à poser ce rejet par un acte qui porte sur des faits et non des vus de l’esprit.
Cédric BEYA